Historique Public

Mon auto -biographie commence dans la petite kessa. Je suis une enfant d'Ibrahim Saïd. Mon père est un aristocrate de la cour. De ce titre nous avons donc été classé dans la ''petite bourgoisie'' d'Yr. Celà veut dire en d'autres termes, j'avais accès à 2 repas par jour et je accès à une éducation militaire. Lorsque fut le temps de devenir quelqu'un, je m'enrôlai dans l'école militaire pour devenir officier, ainsi je m'assurais un revenu, de la nourriture et un toit à vie. Petit bonus, je me disais que de cette façon je contriburais à maintenir la ''prestence'' de notre nom de famille Saïd.

La première année, c'était un calvaire. La discipline, les règlements, la hiérarchie, les punitions et la dureté de tous me rendaient dingue. Chaque jour qui passait était pour moi une torture, jusqu'à ce que le maniement de ma pensée fût à leur merci. Je me rappele encore à quel point je me battais pour mes idéos, "La liberté avant tout!" Je n'étais pas tout à fait rebelle, mais les préceptes militaires me donnaient un sentiment d'être prisonnière d'une cage sans pouvoir m'en libérer de quelconques façon. Je l'admais, j'ai craquée! À ma troisième année, un couvre-feu n'ont respecté me value une exclusion totale de toutes missions de moindre importance à caractère militaire. Ma corvée fût d'être la bonne de la maison et chaperon d'héritiers de la petite noblesse lors de leur passage à Yr. J'étais furieuse, car aux travers ces trois ans, j'avais mis de côté ma liberté. Seule l'orgueil d'annoncer à mes parents mon titre d'officier me rendait résilliente. J'étais humiliée que mes supérieurs m'excluent ainsi malgré mes capacités.
Au cinquième jour de ma punition, quelques camarades se moquèrent de moi en me laissant leur braies bien salles. Étant écoeurée par la forte odeur de leur caleçons, je me dis alors plus jamais! C'est ainsi que ce soir là je volai les bourses des moins honorables et pris mes jambes à mon cou, déposais ma lettre de décrochage et parti dans la nuit sans un aurevoir.

À ce moment j'étais un peu perdue, j'avais quitté ma vie d'un coup de tête et probablement que je décevraient mes parents. Pour le moment, je n'avais pas d'endroit où dormir. Ilétait hors de question que je rentre, alors je pris la direction du ghetto d'Yr! J'allais me réfugier chez ma tante Dounia Saïd. Le lendemain ivre de ma liberté, j'alla fêter en ville. Mon cousin un peu dédaigneux de mes choix de vie, s'engagea dans une longue soirée de débat sur la responsabilité de chaque au sein de la famille. Je partie en ville un peu fâchée et honteuse de mes agissements, boire mes regrets. Au fond de ma débauche, je n'avais pas encore parlé à mes parents ni trouvé une nouvelle vocation, mais je mettais fait plein d'ami(e)s!

Un matin je me réveillai dans une ruelle pleine d'ordures, j'étais en boule ''confortablement" installée sur un tas de déchets domestiques. Le haut le coeur me pris et je m'en suis vomi les trippes. Rentrant, chez ma tante avec une odeur pestillentielle et un dégout total envers le déchet que j'étais devenue, j'en eue assé, demain, j'irai parlé à mes parents et je reprendrai ma vie en main. Ce qui se traduisait par participer au maintient social du nom Saïd.